Cela dépend du contexte : s’il s’agit de violences physiques au sein de la famille ou du couple ou s’il s’agit de violences perpétrées par un individu dans la rue, les organismes à alerter ne sont pas les mêmes.
Evaluer la gravité de l’acte
Pour une violence physique dans la rue, il faut en parler, prendre conseil auprès des témoins ou d’amis pour savoir s’il y a lieu de porter plainte. Suivant la gravité de l’acte, on vous conseillera d’aller au commissariat qui vous enverra à l’hôpital si nécessaire. 
Porter plainte s’il y a risque de récidive
En tous cas, il faut porter plainte quand il y a risque de récidive, si vous connaissez votre agresseur par exemple. Vous pouvez déposer une main courante au commissariat contre cette personne.
Se faire aider, en parler
Après avoir été agressé, on ne se sent plus en sécurité nulle part ; se faire agresser est traumatisant. Il ne faut pas hésiter à en parler, soit à des proches, soit à un professionnel, un psychologue par exemple, qui pourra vous aider à mettre des mots sur cette expérience et à relativiser votre sentiment d’insécurité permanente. N’hésitez pas à faire appel à des amis dans les premiers temps les soirs où vous devez rentrer seul(e) par exemple ; faites-vous raccompagner jusqu’à votre porte, le temps que vous vous sentiez à nouveau à peu près serein(e).
Tout type de violence est à dénoncer vite.